Comptant parmi les tous premiers concessionnaires français du chantier Bénéteau, Quo Vadis exposait un nombre impressionnant de bateaux sur les Nauticales 2013.

A l'occasion des Nauticales 2013, Christophe Charpentier, concessionnaire Bénéteau sur le secteur allant de Hyères (83) à Marseille (13), présente les toutes dernières nouveautés du chantier français, en particulier les Océanis 55, Sense 46, Swift Trawler 50 et Barracuda 7.

Il aborde également le futur lancement du très attendu Monte Carlo 5 et présente l'activité de Quo Vadis dont la stratégie est de proposer un service particulièrement complet aux plaisanciers, afin de leur faciliter la navigation.

Les Nauticales 2013 représentaient une grande première pour le chantier breton Structures, constructeur des fameux POGO, puisque c'était la toute première fois qu'un bateau de la marque était exposé à la Ciotat.

Une grande première qui reflète le succès rencontré par la gamme des POGO, succès encore renforcé depuis le lancement à Paris du POGO 30, dont 30 exemplaires ont déjà trouvé preneur !

Gilles Abraham, démonstrateur Structures présente les dernières nouveautés du chantier et celles à venir, le POGO 30 bien entendu, mais aussi le POGO 3, évolution du POGO 2 et le POGO 40S3, successeur du S2, en cours de construction dans l'usine de Benodet et destiné à la Route du Rhum.

Deux nouveaux voiliers pour lesquels le chantier français Dufour affiche de très grandes ambitions.

Pour Dufour, les Nauticales représentent un rendez-vous annuel incontournable, au même titre que le Nautic de Paris, que le Grand Pavois ou que le Festival de la Plaisance de Cannes.

A cette occasion, le chantier exposait donc un grand nombre de ses modèles, et notamment les tous nouveaux Grand Large 500 et 410, deux voiliers très bien accueillis lors des salons d'automne, et qui signent le renouveau de Dufour.

Carène à bouchain, étrave puissante, arrière large, cockpit innovant et intérieur digne d'un appartement contemporain, pour des modèles toujours très marins, fidèles à l'esprit du chantier, ces modèles nous sont présentés par Dominique Védrenne, au micro de Nicolas Venance.

Le dernier-né du chantier naval normand Allures Yachting, destiné à remplacer l’Allures 40, a été mis à l’eau le lundi 18 mars.

Fidèle au concept lancé avec succès par le chantier, l’Allures 39.9 est un dériveur intégral à coque aluminium en forme et pont en composite conçu pour le grand voyage. Sa coque aluminium lui garantit la sécurité nécessaire pour un programme de grande croisière. Le choix du composite pour le pont et le roof assure quant à lui performance et confort.

Issu d’un cahier des charges strict, élaboré grâce au retour d’expérience de nombreux circumnavigateurs, ce nouveau modèle bénéficie des dernières avancées développées à bord de l’Allures 45 (lancé en 2010) tout en allant plus loin, notamment par son plan d’aménagement innovant, son design original et son pont entièrement réalisé selon la technologie de l’injection plus respectueuse de l’environnement.

Tirant d’eau variable (1,06/2,75m), facilité de manoeuvre, double barre, coffres de jupe, carré avec vue sur mer, table à cartes double, douche séparée, local technique. Tout est réuni pour offrir aux navigateurs au long cours un bateau sécurisant, performant et confortable.

Le cabinet d’architectes Berret-Racoupeau Yacht Design, en collaboration avec le bureau d’études d’Allures Yachting, a conçu un bateau puissant et équilibré, confortable et harmonieux. La coque a été réalisée par les compagnons chaudronniers du chantier Garcia Yachting, reconnu pour son savoir-faire et partenaire d’Allures Yachting au sein du groupe Grand Large Yachting.

Les premières navigations ont permis de confirmer les remarquables performances sous voile ainsi que l’agréable confort au mouillage.

L’Allures 39.9 a reçu un bon accueil et Allures Yachting dispose d’un carnet de commandes bien rempli. Pour faire face à cet accroissement d’activité, le chantier a récemment procédé à de nouvelles embauches.

Cette évolution du Biloup 26 était l'une des grandes nouveautés de l'édition 2013 des Nauticales de la Ciotat.

Dérivé du Biloup 26 dont il reprend la carène, le Biloup 265 s'en distingue par une nouvelle descente plus confortable, un gréement autoportant offrant... 12m2 supplémentaires de surface de grande voile, ce qui change la donne en navigation et par le fait qu'il est désormais insubmersible, ce, au même prix que le Biloup 26 !

De sérieux avantages pour ce biquille qui mise sur le confort et se destine à un programme de croisière familiale.

Médéric Thioult, président de Wrighton présente pour la Web TV d'ActuNautique.com, le Biloup 265 au micro de Nicolas Venance.

A l’occasion des Nauticales 2013, ActuNautique.com a rencontré Yannick Hemet, directeur commercial France de Bénéteau. 

Yannick Hemet, que représentent pour vous les Nauticales ?

Yannick Hemet - Pour nous, les Nauticales sont un salon essentiel dans la distribution en France. Notre pays compte 3 autres grands salons, dont Paris qui est à terre, tous ppositionnés en fin d'année. Un salon à flots de printemps est idéal car il permet de présenter les nouveautés de fin d’année vues généralement à terre et de passer sa commande pour une livraison juste avant l’été !

C’est donc un bon timing de salon ?

YH – C’est un bon timing ! C’est de plus un salon en pleine évolution, qui devient l’un des salons essentiels sur la Méditerranée.

Que nous présentez-vous cette année sur les pontons de la Ciotat ?

YH – Vous allez retrouver aussi bien des nouveautés voile que moteur avec de très nombreux modèles, tant à terre qu'à flots : Barracuda, Antares, Grand Turismo, Flyer, Trawler pour l'offre moteur, et Oceanis et Sense dans le domaine de la voile. En particulier, l’Oceanis 55 présenté en avant première à Paris.

Dans le domaine du moteur, le Barracuda 7 fait beaucoup de bruit ici

YH – Cette gamme lancée il y a deux ans avec le Barracuda 9 s’est élargie avec le Barracuda 7 qui rencontre beaucoup de succès. Il est présenté à terre sur ces Nauticales afin de permettre au plus grand nombre de le visiter. Dans le domaine du moteur, nous présentons un Grand Turismo sans fly. Bénéteau innove toujours puisque nous avons exposé à Düsseldorf le Monter Carlo 5, qui préfigure toute une gamme de vedettes express à fly. Une gamme présentée à flots début avril.

Comment se présente le marché en 2013 ?

YH – Je ne vous cacherais pas que le marché est un peu difficile, par contre, notre puissance dans le domaine des nouveautés, le fait d’avoir un réseau fort, nous permettent de nous maintenir et de gagner des parts de marché, tant à l’international qu’en France, dans la voile et le moteur. La gamme Oceanis marche très fort, tout comme les Sense, qui sont des bateaux de conquête. Dans le moteur, nos ambitions sont très fortes. L’accueil réservé aux Barracuda est impressionnant, sur un segment qui est le cœur de marché.

Sur un marché difficile, quelle est votre stratégie pour aider vos distributeurs ?

YH – Déjà, nous avons la chance d’avoir un réseau fort, ancien, avec des entreprises qui existent depuis des années et qui ont une assise financière solide. C’est très rassurant pour nos clients qui savent que leur distributeur sera pérenne dans le temps. En parallèle, nos innovations permanentes, en voile et en moteur, leur permettent de se différencier avec des produits toujours à la pointe du marché, produits qui bénéficient d’animations, rassemblements clients, festivals d’essais, de façon à créer de l’animation et faire venir des clients. Enfin, nous bénéficions de notre propre filiale financière qui est à même d’accompagner les plaisanciers dans le volet financier de leur bateau. Aussi bien pour le financement de leur acquisition, que la reprise de leur ancien bateau...

Le chantier français affiche une hausse d'activité de 7% à périmètre constant.

Sur un marché du nautisme toujours difficile, le chantier Poncin Yachts (catamarans Catana et opens White Shark) se distingue.

Après une lourde restructuration et la cession de son unité de production de Marans, le chantier français a dégagé un chiffre d'affaires de 14.9 millions d'euros sur le premier semestre de son exercice, en crpoissance de 7% si l'on ne tient pas compte de la soulte de 573000 euros encaissée l'an dernier lors de la cession de Marans.

Si le chantier ne bénéficie par encore pleinement des effets du lancement de son tout nouveau catamaran Catana 59, la direction précise que le carnet de commande de ce modèle est plain jusqu'au second semestre 2014, démontrant que si le nautisme souffre sur les segments bas et moyen de gamme, les bateaux de luxe constituent une niche de marché particulièrement solide, notamment à l'export.

Dans ce domaine, le chantier Poncin Yachts mise particulièrement sur des march"és comme la Russie, l'Asie, les Etats-Unis ou l'Australie.

En terme de gamme, deux nouveaux modèles de catamarans Catana seraient en développement, qui reprendraient l'architecture très réussie du 59.

Enfin, last but not least, le chantier devrait afficher des bénéfices dès cette année.

L'impatience est grande au chantier breton Structures !

La semaine prochaine en effet, dans la journée de mercredi, le premier POGO 30, le tout nouveau modèle du chantier, touchera l'eau depuis le terre plein de mise à l'eau de Benodet.

Ce modèle très ambitieux, déjà vendu à une trentaine d'exemplaires et dont seules des maquettes ont été jusqu'à présent présentées, notamment au salon de Paris, remplace le POGO 8.50 qui en son temps avait révolutionné le secteur des voiliers de course-croisière par son architecture issue des voilers de course.

Signé Finot Conq, le POGO 30 mesure 9,14m pour une largeur de 3,70m et un poids de 2.8 tonnes. Un poids particulièrement optimisé, notamment dû à une construction entièrement réalisée en infusion (sandwich), qu'il s'agisse de la coque, du pont et des structures intérieures. 

Personnalisable selon les soughaits du propriétaire, le POGO 30 peut ainsi recevoir une quille relavable ou fixe, un mât classique ou carbone sans pataras, un spi symétrique ou asymétrique avec bout dehors. 

Rappelons que le chantier Structures commercialise deux gammes de voiliers, des modèles de course-croisière (Pogo 30, 50, 10.50 et 12.50) et des modèles de course (POGO 40 S3 et bientôt, le Pogo 3 (classe mini)).

NV.

=> Toute l'actualité POGO de Structures est sur ActuNautique.com

Avec le 500 Grand Large, le chantier français Dufour a fait forte impression lors des salons d'automne 2012.

Se positionnant entre les constructeurs de voiliers de grande série et les constructeurs scandinaves, le chantier français Dufour Yachts, repris l'an dernier par un fonds d'investissement britannique contrôlant l'allemand Bavaria, a fait forte impression à Cannes, en dévoilant le Dufour 500.

Ce modèle renouvelle en effet la gamme Grand Large du chantier de manière spectaculaire, tant dans la carène (signée par l'architecte italien Umberto Felci), que dans le design (le papillon est en partie conservé sur le vitrage mlatéral mais modernisé), le plan de pont et l'aménagement intérieur.

La carène tout d'abord, à l'étrave plus large, adopte un bouchain marqué qui permet de réduire la gîte. Le cockpit ensuite, divisé en 3 parties en fait un modèle particulièrement adapté à un usage familial et aux loisirs, notamment avec une table de cuisson située sous le siège arrière.

Au niveau de l'aménagement intérieur, la cuisine est déportée vers l'avant dans un carré très clair, au design franchement inspiré de l'habitat contemporain. L'adoption d'un bois clair n'y est pas étranger, qui apporte à l'ensemble beaucoup de clarté (avec également le toit panoramique) et une grande impression de confort, impression renforcée par une belle finition.

Caractéristiques techniques ActuNautique.com du Dufour 500 Grand Large

• Longueur hors tout 14,91m
• Longueur de flottaison 13,67m
• Longueur de coque 14.75m
• Largeur de coque 4,80m
• Poids lège 14 200kg
• Tirant d'eau 2.30m
• Surface de voilure 100.8m²
• Capacité en eau 660L
• Capacité en carburant 500L
• Motorisation 75cv
• Certification CE Catégorie A

=> Toute l'actualité Dufour Yachts est sur ActuNautique.com 

Le succès du RM1060 ne se dément pas, avec près de 47 exemplaires vendus.

Plébiscité par la presse Européenne, le RM1060 est reconnu comme l'une des références sur le marché des voiliers de 35 pieds.

Fort de ce succès, le chantier a souhaité aller plus loin encore et répondre à l'attente des navigateurs adeptes de la barre à roue. Dans les prochains mois, le RM1060 sera ainsi disponible avec une double barre à roue !
 

Cette option apportera sans nul doute un confort et un toucher de barre remarquables, et permettra de dégager le cockpit en cas d'équipage nombreux.

La version barre franche restera bien évidemment au catalogue.

Mercredi avait lieu à Benodet, la mise à l'eau du premier Pogo 30 du Chantier Structures !

Ce voilier de course croisière, qui mesure 9,14m de long pour 3,70m de large affichait 2,723 tonnes à la pesée, rendant de 300 kgs à 1 tonne à des bateaux équivalents sur le marché, qui pèsent généralement de 3.1 tonnes à 3.8 tonnes !

A l'instar des certains bateaux de course et notamment les classes Figaro, le Pogo 30 dispose de 4 crochets d'arrimage sur le pont permettant une mise à l'eau très sûre au moyen d'une grue, sans avoir à passer des sangles sous la coque, une possibilité offerte du fait de structure renforcée spécifique.

Le Pogo 30 succède au Pogo 8.50 qui avait amené sur le marché de la plaisance des solutions développées pour la course. Un poids optimisé, pour naviguer à partir de 4 noeuds de vent, une carène extra large pour une meilleure stabilité et un plus grand confort, et une rigidité maximale, permettant de naviguer jusqu'à 45 noeuds de vent ! 

Suite à la mise à l'eau de mercredi, des test de stabilité à 90° ont été conduits dans la journée de jeudi par l'ICNN en vue de l'homologation du POGO 30, tests toujours impressionnants !

Rappelons que le Pogo 30, a déjà été vendu à une trentaine d'exemplaires jusqu'à présent, en n'ayant été présenté au public qu'au travers de simples maquettes, preuve de la confiance que font ses clients au chantier breton.

Ce premier modèle mis à l'eau se présente avec une quille relevable, un mât carbone et un bout dehors permettant l'utilisation d'un spi asymétrique.

=> Toute l'actualité POGO du chantier Structures est sur ActuNautique.com

Cette évolution profonde du Privilège 515 met l'accent sur le confort la puissance sur l'eau.

En s’appuyant sur les compétences techniques de l’architecte naval Marc Lombard et sur le regard aiguisé du designer Franck Darnet, le chantier fait évoluer le 515 vers le Privilège Serie 5.

Au programme, des espaces de vie plus vastes, en particulier au niveau de l'espace repas, plus généreux, des ouvertures plus grandes, toujours bienvenues.

Le design intérieur du Privilège Série 5 évolue fortement, ainsi que l'ergonomie, en particulier dans le cockpit, avec une nouvelle ouverture de la grande baie vitrée.

Au niveau du plan de voilure, le Privilège Série 5 gagne en puissance, étant désormais équipé en série d'une voile à corne. Enfin, notons des jupes arrières rallongées.

=> Toute l'actualité de Privilège Marine est sur ActuNautique.com    

Il y a 10 ans déjà était lancé l'Ikone, un petit voilier familial pas comme les autres.

Il y a 10 ans était présenté un petit voilier qui n'a pas fini d"'étonner, tant il se démarquait de ce qui existait alors, l'Ikone, du chantier Espace Vag.

Long tout juste de 6.00m, l'Ikone affichait alors une polyvalence qui n'a pas changé et qui a fait son succès, avec près de 90 unités commercialisées. 

Une polyvalence qui fait de l'Ikone tant un voilier de balade qu'un voilier... de pêche, le chantier Espace Vag construisant notamment le Pesca 8, un bateau à moteur destiné aux pêcheurs professionnels original par sa carène à rostre.

Faut-il en déduire que le chantier a fait de l'originalité sa marque de fabrique ?

Toujours est-il que l'Ikone est un voilier au gabarit routier, simple à mettre à l'eau avec sa remorque cassante, dont le montage du gréement ne prend pas plus de 10 minutes, qui offre un mât carbone avec voile à enrouleur, une cabine suffisante pour son programme de navigation et un vaste cockpit ergonomique.

Très stable, la carène signée Julien Marin est parfaitement adaptée à une utilisation familiale. Bien défendu, avec un cockpit rassurant et pratique, l'Ikone offre des assises confortables. Quant à la cabine, ses 2 couchettes (+ 2 d'appoint vraiment petites) et son WC escamotable permettent d'envisager un week end de balade.

Le mât autoportant rotatif et la voile à enrouleur (17m2) permettent des manoeuvres aisées. Il est en outre possible d'opter en option pour un spi asymétrique doublant la voilure. S'il n'est pas une Ferrari des mers, l'Ikone est toutefois un petit voilier familial vivant, simple à utliser, dont la classification insubmersible, selon l'ancienne législation, finira de convaincre les plus rétifs.

Et parce qu'un voilier, c'est aussi, pourquoi pas, bien utilie pour des parties de pêche en mer avec des amis, l'Ikone propose un cockpit suffisamment vaste pour y déployer son matériel, un haut franc bord procurant des appuis et une porte de tableau arrière au dessus de la flottaison permettant de remonter un trémail notamment.

Fiche technique ActuNautique.com de l'Ikone

• Architecte : Julien Marin
• Longueur : 5.98m
• Largeur : 2.50m
• Tirant d'eau : 0.40 - 1.00 m
• Poids : 759 kg - lest : 180 kg
• Voilure au près : 17 m2
• Spi asymétrique : 17 m2
• Catégorie : C

La voile française récompensée en Asie.

Beau doublé pour le groupe français Bénéteau, qui au travers de deux de ses chantiers, Jeanneau et Bénéteau, a obtenu deux awards aux Asia Boating Awards 2013.

Traditionnellement organisés par nos confrères Asia-Pacific Boating et China Boating, ces awards récompensent les nouveautés les plus marquantes dans le domaine de la plaisance, en Asie.

Cette année, le Bénéteau Sense 46 et le Jeanneau Sun Odyssey 509 obtiennent chacun un award dans les catégories des voiliers moins de 15m et de ceux compris entre 15 à 30m.

Un signe manifeste du dynamisme du groupe français dans la zone Asie-Pacifique !

=> Toute l'actualité de Bénéteau est sur ActuNautique.com

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Nomade IV, le dernier né du chantier Maxi Dolphin signé par le cabinet Finot Conq, va bientôt être mis à l'eau.

La construction de Nomade IV, un FC3 100, soit 30,48m, touche à sa fin et la coque vient de quitter le chantier Maxi Dolphin pour rejoindre le port de Marghera, près de Venise, où son aménagement sera complété avant une réception par son propriétaire courant juillet.

Entièrement construit en carbone nomex, Nomade IV se dsitngue par un design élancé, bas sur l'eau, avec une carène à bouchain. Très similaire aux WallyCento, Magic Carpet 3 par exemple, Nomade IV affche un déplacement de 51 tonnes.

Le design intérieur de ce yacht, signé Pierre Frutschi se veut minimaliste, l'aménagement de Pierre Forgia, de Finot-Conq, se proposant d'être confortable pour 12 passagers, en plus de l'équipage.

Après ses différents tests et essais en mer, Nomade IV devrait intégrer une saison de course particulièrement chargée, qui débutera par une participation à la Maxi Rolex Cup à Porto Cervo, en Septembre.

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Le constructeur polonais de catamarans de luxe en très grande forme, persiste et signe !

Depuis début 2013, le chantier polonais Sunreef Yachts a terminé la fabrication de quatre nouveaux catamarans sur mesure, à voile et à moteur.

La prochaine mise à l'eau prévue est désormais celle de son nouveau superyacht à voile, le Sunreef 80 de la gamme Single Deck qui se distingue notamment par sa structure complète en carbone.

Les calculs réalisés par FEM (modèle à éléments finis) ont aidé à réduire les sons et les vibrations à leur minimum, grâce à un système très sophistiqué. Sa structure légère et sa ligne élancée et sportive doivent lui garantir de hautes performances sous voiles en intégrant un design et un aménagement entièrement personnalisés.

Le pont extérieur est maintenant entièrement peint. Le revêtement de teck a été posé sur le flybridge ainsi que dans le cockpit. Une grande partie de l'accastillage est également montée tandis que les aménagements intérieurs de style moderne sont maintenant installés dans la superstructure et dans les coques. La mise à l'eau est programmée pour le début du mois de juillet 2013.

A noter que ce catamaran sera exposé au Festival International de la Plaisance de Cannes cette année.

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Elu European Yacht of the Year 2010, le Seascape 18 a fait des émules !

S'il est un croiseur rapide de 8m assurément bien né, c'est indéniablement le cas du Seascape 27 du chantier slovène éponyme.

Déjà, en 2009, son petit frère, le Seascape 18 avait créé le buzz avec des solutions originales, notamment pour le transport et le mâtage et son incroyable polyvalence. Un buzz qui s'était vite transformé en succès commercial avec près de 220 ventes de par le monde !

Présenté en avant première lors du dernier Grand Pavois, le Seascape 27 est bien parti pour rééditer le succès de son petit frère avec près  de 40 ventes, malgré des capacités de production légèrement saturées !

Franchement inspiré de l'esprit des ministes, le concept mis en oeuvre par l'architecte Sam Manuard réussit l'exploit de faire la synthèse entre la légèreté et le confort, deux notions plutôt antinomiques sur un bateau.

Ce, avec un tas de petites innovations particulièrement bien pensées, comme cette mousse imputrescible collée au plancher qui participe à faire de ce croiseur un bateau insubmersible, dces portes intérieures multi-usages, le compartiment avant ingénieusement aménagé entre zone technique et zone de vie, le beau carré organisé autour d'une grande table dont le pied est le puits de quille.

Assurément, ce bateau est fait pour la voile familiale ou le raid côtier, voire la croisière hauturière selon l'armement choisi.

A l'extéreiur, le cockpit réserve de bonnes surprises, comme ce moteur hors-bord in-bord, couché sous un capot en navigation sous voile et qui se redresse pour les manoeuvres au moteur. Le rail de grand voile quant à lui passe au dessus de la barre et le piano placé sur le roof est particulièrement complet, avec une bonne qualité d'accastillage. Le mât assez court à deux étages de barres de flèche, permet de se passer de pataras et de bastaque. Le confort et la place dans le cockpit sont réels, et l'on ne se marche pas dessus, les cales pieds bien marqués se révélant judicieux.

Facile et amusant, raid à la toile, le Seascape 27 séduit par une polyvalence unique sur le marché, entre performance et confort. Assurément un voilier bien né...

=> Toute l'actualité de Seascape est sur ActuNautique.com

Fiche technique ActuNautique.com du Seascape 27

• Longueur : 7.99m
• Largeur : 2.54m
• Déplacement : 1.250 tonne
• Lest : 600 kg
• SV au près : 47m2
• Foc : 21m2
• GV : 26m2
• Spi : 54 / 75 m2
• Construction : verre-polyester
• Architecte : Sam Manuard

photo - Seascape

Avec cette mise à l'eau, le chantier finistérien Marée Haute se fixe comme objectif d'amplifier le succès rencontré par la Django 7.70

Présenté lors du dernier Nautic de Paris, le Django 6.70 porte tous les espoirs du chantier finistérien Marée Haute.

Doté d'une carène dessinée par Pierre Rolland pour la mini-transat, le Django 6.70 se présente comme un petit voilier polyvalent, à même de réaliser de petites croisières côtières voire d'envisager des traversées au large, le bateau étant conçu pour affronter des conditions sérieuses. 

Doté d'une quille sabre relevable et d'un tirant d'eau variant de 0.50 à 1.60m, d'un bulbe en fonte et de safrans relavables, construit en infusion, le Django 6.70 mise sur sa polyvalence, sa facilité de transport et d'échouage pour séduire, tout comme sur un rapport poids-puissance intéressant.

Son aménagement intérieur, avec un lit double breton et deux couchettes simples permettra de naviguer à deux confortablement, à 4 en si l'on accepte la promiscuité, mais il ne faut pas espérer des miracles dans un bateau de 6.70m de long.

=> toute l'actualité des Django est sur ActuNautique.com

Fiche technique ActuNautique.com du Django 6.70

• Longueur : 6.70m
• Largeur : 3.00m
• Hauteur sous barrot : 1.45m
• Tirant d'eau : de 0.50m à 1.60m selon position de la quille
• Déplacement à vide : 1000 kg
• GV : 19m2
• Solent arisable : 18m2
• Spi : 55m2
• Moteur : hors bord 4 à 6 cv, électrique possible
• Safran : double et relebable
• Lest : 450 kg
• Certification : catégorie B
• Mât et bôme : aluminium
• Architecte : Pierre Rolland

Autant le dire, la famille des First de Bénéteau est une famille à succès, et ce modèle ne déroge pas à la règle ! 

Pour une lignée, c'est une lignée ! 

Depuis le First 260 jusqu'à ce First 25 S, la carène dessinée par Finot conq en 1995 a connu un succès inimaginable au fil des ans, devant une icône pour bien des plaisanciers.

Le First 25 7, en récupérant le gréement du Twenty est devenu le 25 S.

Le First 25 S se distingue donc désormais avec un gréement sans pataras (le câble qui relie la tête du mât à l'arrière du navire), une solution qui permet de se déplacer à bord avec plus de facilité et d'aisance, que ce soit à l'arrière mais aussi vers l'avant (absence également de bas haubant).

La grande voile à corne du First 25 S rajeunit la ligne et donne un sérieux coup de pouce dans les petits vents. La quille relevable l'est toujours par le biais d'une vis sans fin. La barre d'écoute est positionnée sur la poutre arrière, un vrai plus.

Pourvu d’une cabine double, d’une salle de bain avec toilette, d’un grand carré et d’une cuisine, le confort intérieur est de rigueur sur cette unité de 7,90 mètres. Changement notable : cet intérieur se pare de boiseries claires, bien dans l'air du temps. Avec le First 25 S, il est dit que la pratique de la voile n'est pas réservée qu'au skipper passionné...

Assurément, l'une des meilleures offres du segment des croiseurs de 7,50m, idéal pour une première approche de la mer, les sorties à la journée ou les croisières côtières.

• Architecte naval : Finot Conq et Associés
• Longueur HT : 7,90 m - 25’11’’
• Longueur de coque : 7,50 m - 24’7’’
• Largeur de coque : 2,75 m - 9’
• Déplacement lège : 2 150 kg (CE) - 4,739 lbs
• Capacité de carburant : 30 L - 8 US Gal
• Capacité eau douce : 40 L - 11 US Gal
• Puissance moteur : 14 CV - 14 HP
• Propulsion : Ligne d'Arbre
• Certification CE : C8 / D8
• Tarif indicatif : 49 395 € TTC

 

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Le Salon Nautique d'ActuNautique.com

 

Mauvaise nouvelle en provenance de Béthune.

La nouvelle a fait l'effet d'une bombe dans le milieu du nautisme et de la plaisance.

Le chantier Wrighton, constructeur français des voiliers BILOUP, implanté à Béthune, a en effet été placé en redressement judicaire par le tribunal de commerce d'Arras, le 31 mai dernier.

Cette décision fait suite à une situation de cessation de paiement, la société n'étant plus en mesure d'honorer ses créanciers.

Le mandateur judiciaire nommé doit désormais faire un état des lieux économique de l'entreprise et décider, soit d'une continuation d'activité, soit d'une liquidation, sachant qu'une reprise est tout à fait possible.

Ce placement en redressement judiciaire intervient alors que le chantier fête cette année ses 40 ans, et qu'il a lancé en avril dernier son tout nouveau modèle, le Biloup 265. 

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=> La dernière interview vidéo du patron de Wrighton